Les Ailes Anciennes Thouarsaises

Le hangar : longrines

J’fais du béton, du béton, encore du béton (sur l’air du « poinçonneur des Lilas »)…

Début avril : le chef est arrivé ! Juste à temps pour les longrines et le seuil de porte.

Précisément, voilà le coffrage du seuil en question.

Et les ouvriers au travail : ici, Pierre et Robert.

Et Maurice, affecté au ciment.

Bien qu’il semble allergique…

Même le chef s’y met ! Mais sous le regard vigilant d’un autre chef ; maçon, celui-là.

Le béton du seuil est presque terminé. Reste à couler les longrines sur le même principe : coffrage, ferraillage, béton.

Finition à la taloche tandis que Jean-François, dit « le chef », joue ce rôle à la perfection.

Mi avril : décoffrage du seuil et début du coffrage des longrines du long-pan “ouest”.

Fin avril : les longrines sont coulées ; y compris celle du pignon “sud”. Il est temps de poser un film étanche ainsi que des treillis soudés sur des cales.

Toute la surface intérieure est ainsi recouverte et en attente d’un béton “autonivelant”.

Début mai : trois toupies ont déversé 24 m3 de ce béton dit “autonivelant” mais qu’il faut quand même fortement aider à correctement le répartir.

Dans le jour finissant, on joue encore de la règle à débuller.

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