Avons-nous été malhabiles ou bien avons-nous mal utilisé les produis dédiés ? Toujours est-il que de la poussière de ciment provenant du sol laisse de vilaines traces sur les chaussures et sur les pantalons quand on se met à genoux. On a bien utilisé de grands cartons pour pallier cela mais rien ne vaut une bonne peinture : verte, comme s’il s’agissait de la couleur des pistes en herbe plus propices aux avions à train classique que celles revêtues.
On a d’abord sorti les avions puis déménagé le matériel du côté « est » » afin de peindre la moitié « ouest » de la surface. Après séchage, tout est remis en place.
Puis « tout » déplacé à l’ouest avant de replacer les équipements. « Tout » est écrit entre guillemets car le tour est resté en place…
Et voilà le travail quant à la partie « sud ».