Fuselage : peinture de la partie entoilée

Par
Francis SABOURIN
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Après les classiques couches d’enduit apportant une dernière touche à la tension et assurant une certaine étanchéité, c’est un des grands moments d’une restauration d’un avion : l’apprêt puis la peinture de la partie entoilée du fuselage…

Là, pas le choix ! C’est LE spécialiste qui s’y colle équipé d’un tout nouveau masque de peinture, le précédent ayant fait son temps après les travaux sur le Fairchild 22.
Après la partie droite (photo précédente), le dessus et le dessous – grâce à l’indispensable tourne-broche – c’est la partie gauche qui est complètement apprêtée.
Même opération – punition ? – pour étendre les deux couches (la seconde de type « mouillée sur mouillée ») de peinture verte « Armée française » en provenance de Jeepest.

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