Le Norvigie sur ses roues

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Après avoir décapé quantité de pièces allant des amortisseurs aux supports de roues en passant par des dizaines de composants structuraux à apprêter puis à peindre – et qui nous prendront des jours pour trouver leurs destinations non indiquées dans les documents à disposition – , le NC est d’abord sur ses roues puis équipé « à blanc » des ouvrants et des « plexis » (en fait du polycarbonate d’épaisseur 2 mm) fixés temporairement par des boulons de diamètre 4.

Les plexis installés sont neufs mais encore recouverts de leur protection. Ce n’est pas le cas du pare-brise et des éléments vitrés au dessus qui sont d’origine (?).
carrossage positif pour le train principal dû à l’absence du moteur et de ses accessoires. Après nettoyage, la cloison pare-feu est à sa place mais pas fixée.

Indéniablement, les pneus ne permettront même pas les essais de roulage. Problème : le diamètre des jantes est de 7 pouces, dimension impossible à trouver en imposant les critères de vitesse et de poids. Donc, il faudra faire une adaptation en 8 pouces

La photo précédente faisait bien apparaître l’absence des soufflets de protection de la partie chromée des tiges d’amortisseurs. En fait, on en dispose mais il faudra les installer.

Petit complément quant aux soufflets en question : ceux de crémaillère de direction de DS Citroën (réf. D 442 20) conviennent parfaitement. La preuve par l’image précédant ce texte où un de ces soufflets est positionné sur un amortisseur dont nous disposons en plus mais dont le chrome de la tige est fortement corrodé, contrairement à ceux installés sur l’avion. Si les soufflets sont à part, c’est qu’il faut les faire passer par le haut de la tige et donc enlever les valves ; ce qui impose ensuite, après avoir vérifié le niveau de liquide hydraulique, de regonfler les amortisseurs à une pression de 55 bars (hpz), si possible à l’azote.

Les sandows de la roulette arrière sont en bon état. La roulette montée n’est pas celle d’origine qui est gonflable et de diamètre légèrement plus important mais dont le pneu est vieux.
L’arrière du fuselage attend sa connexion avec la partie concernée de l’empennage.
Gros plan sur la jauge mécanique du réservoir principal. Cela va nous changer des simples flotteurs !
On voit nettement l’emplacement de cet indicateur, pas très pratique pour un pilote seul à bord. La hauteur des manches interpelle aussi…

La tôle – encore en apprêt – entourant l’indicateur du niveau de carburant et celles adjacentes sont dotées de boutons-pressions fixant une toile (au nettoyage avant raccommodage…) qui recouvre les tubes « verticaux » et « diagonaux », ici apparents, et qui se fixe par ailleurs sur un bord du plancher.

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