Par
Francis SABOURIN
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Les amortisseurs du train principal ont été regonflés à la pression prescrite et dotés de soufflets de protection prévus pour les DS Citroën (des années 70) puis adaptés quant au diamètre du fourreau.

Après installation du soufflet de protection, un dispositif de gonflage constitué principalement d’une bouteille de plongée, de tuyauteries, d’un manomètre et d’un robinet trouvé dans les pièces non encore montées de l’avion. La pression requise est de 56 bars.
Et voilà l’amortisseur droit en place ! La valeur requise de la pression est rappelée sur une plaque fixée sur la partie basse de l’amortisseur.
Comme on ne trouve plus des pneus aux dimensions des jantes d’origine, ces dernières ont été remplacées par des jantes de 8 pouces. Pour l’instant elles sont toujours couleur « alu » car il y un désaccord entre celui qui voudrait les peindre (en vert armée française) et ceux qui voudraient les garder ainsi comme un symbole de distanciation quant à l’aspect militaire de l’appareil ; au même titre que les embouts du radiateur d’huile et la casserole d’hélice (laissés couleur alu), les sorties d’échappement chromées, etc.

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